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Infections des voies respiratoires

La ciste à fleurs roses barre la route aux infections

Depuis l’Antiquité, on attribue à  cette plante européenne (dont le nom latin est Cistus incanus), la capacité à endiguer les infections virales et précisément celles des voies aériennes.

Rappelons l’aspect polymorphe de toutes contagions virales dont l’incubation est de courte durée, de 1 à 3 jours.

Les virus sont véhiculés par des sécrétions des voies aériennes supérieures générées par la toux, les éternuements ou la parole d’un sujet infecté, ainsi que par contact des muqueuses avec des mains ou des objets fraîchement souillés. Le potentiel de guérison du ciste à fleurs roses remonte au 4e siècle av. J.-C., où l’on utilisait déjà la résine (ladanum) de la plante pour lutter contre des agents bactériens.

Agir le plus vite possible

L’une des plantes médicinales européennes les plus riches en polyphénols, le Cistus incanus réussit en grande partie à fixer physiquement les bactéries et virus, lui permettant ainsi de prévenir ou de soigner, en traitement concomitant, les infections des voies aériennes supérieures. 
Comme thérapie de soutien des infections et inflammations de la bouche, de la gorge et des voies aériennes supérieures, il convient de faire fondre 1 à 2 comprimés dans la bouche 6 fois par jour. A titre préventif lors d’un risque infectieux accru, p. ex. dans un espace public très fréquenté, on peut passer de 1 à 2 comprimés toutes les 60 à 90 minutes.

Dans les dosages indiqués, les préparations à base de ciste à fleurs roses conviennent également aux enfants, futures mamans et femmes qui allaitent.

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