La peau constitue l'interface entre notre corps et le monde extérieur; à cet égard, elle est le premier organe à subir les agressions quotidiennes de notre environnement. Nous devons la préserver pour d'évidentes raisons sanitaires, mais également esthétiques. En effet, d'un côté, notre peau assure un rôle de protection, de thermorégulation, d'information ou encore d'élimination; de l'autre, elle constitue un «outil de communication», au même titre que notre aspect général ou notre manière de nous exprimer.
La société et ses multiples contraintes nous imposent un rythme de vie soutenu tant sur le plan nerveux que physique. Aussi, notre charpente ostéoligamentaire est-elle mise à rude épreuve chaque jour: traumatismes, tendinites et plus tard arthrose. La plus fréquente des arthroses, celle du genou, touche un tiers des plus de 70 ans. Faut-il s'avouer vaincu pour autant?
Tout a déjà été dit sur l'hiver, le froid et les infections qui en résultent... Et pourtant, invariablement, chaque année renouvelle son lot de pathologies hivernales sans que l'on puisse y échapper. Il convient donc d'être fataliste et pragmatique: s'il faut être malade, autant disposer des meilleures armes pour se soigner!
Avec les premiers frimas de l'automne, reviennent ces envahissants virus qui s'approprient tôt ou tard notre sphère ORL. Rhinite, courbatures, fièvre sont souvent les signes de l'état grippal qui en résulte. En effet, s'il n'y a qu'un virus de la grippe, il existe de nombreux agents pathogènes qui procurent des symptômes analogues.
Si le printemps réjouit la plupart d'entre nous, il contrarie, voire inquiète une frange croissante de la population. Pour celle-ci, en effet, la floraison de certains végétaux est synonyme de rhume des foins, appelé également rhinite allergique saisonnière. L'exposition aux pollens peut s'étendre de février à octobre avec un pic en avril-mai.
Un éternuement? Le nez qui coule? La gorge qui picote? Nos amis virus ont, semble-t-il, encore frappé! Ces tristes compagnons, qui sont des dizaines à vouloir coloniser notre sphère ORL, ne se reposent jamais et si certaines périodes de l'année sont plus propices à leur épanouissement, une vigilance constante est de rigueur.
Je suis une mère de famille de 43 ans et j'ai pris 7 kilos en arrêtant de fumer. Depuis, j'enchaîne les régimes sans pouvoir stabiliser mon poids. Est-ce un problème alimentaire? Dois-je avoir recours à des médicaments?
Tu seras chauve, mon fils! Ce genre d'hérédité est-il réellement fondé? Les hommes sont-ils tous concernés et, surtout, sont-ils les seuls? Toutes ces questions constituent au final une seule interrogation: la chute des cheveux est-elle une fatalité universelle?
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