Le bonheur est en nous. Au-delà de toute considération philosophique, nous avons les moyens de stimuler la production cérébrale de substances très bénéfiques pour l’humeur: les endorphines. Parmi les propriétés qui leur sont attribuées, figurent notamment l’apaisement de la douleur (action comparable à celle de la morphine), l’apparition du plaisir, voire de l’euphorie, ainsi que la diminution du stress et de l’anxiété.
Il existe différents facteurs favorisant la synthèse d’endorphines, à savoir:
• la lumière des UV, ce qui plaide en faveur de l’activité physique en plein air par tous les temps;
• les relations amoureuses et sexuelles épanouies;
• le rire;
• la consommation de chocolat et de café (mais gare à l’abus, source de carences ou d’excès nutritionnels, ainsi que de troubles de santé…)
• et, surtout, la pratique du sport. Les sports les plus «endorphinogènes» sont ceux d’endurance (course, walking, ski de fond, natation, etc.), mais aussi la musculation et les activités à efforts fractionnés (football, basket, badminton, etc.).
Autant de moyens pour prévenir et combattre la morosité de la «mauvaise» saison!
