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Stress et métabolisme hydrique

La première hormone dilate les pores et déclenche la transpiration. C’est pour cela que certaines personnes suent abondamment dans les situations de stress intense et que d’autres sont concernées par le phénomène désagréable des «mains moites».

En revanche, le cortisol et l’aldostérone freinent l’élimination rénale du sodium et augmentent celle de son antagoniste, le potassium. Cela explique d’ailleurs l’aspect boursouflé des sujets soumis aux corticoïdes (médicaments à base de cortisone).

Que le stress déshydrate ou «gonfle», il est impératif de beaucoup boire (2 l de liquide par jour, sous forme d’eau et de tisanes), soit pour compenser les pertes hydriques par la peau, soit pour stimuler la fonction rénale.

Rita Ducret-Costa
Pharmacienne diplômée de l’Université de Bologne, nutritionniste et homéopathe.

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