On ne le répétera jamais assez: les états grippaux, fréquents entre novembre et mars, résultent soit de refroidissements, soit d’une infection par l’un des nombreux virus ORL susceptibles de provoquer à la fois fièvre légère, maux de tête, écoulement nasal et faiblesse générale. Dans ce cas, les signes sont alors plus intenses et accompagnés d’autres symptômes spécifiques. La «vraie» grippe, par contre, est une infection respiratoire aiguë, causée par le virus Myxovirus influenzae.
Si, soudainement et en période d’épidémie, apparaissent une toux, de la fièvre, des maux de tête et de gorge, ainsi qu’une nette fatigue et des douleurs musculaires, l’on a probablement contracté la fameuse grippe saisonnière. Nous nous trouvons donc simultanément dans la période où l’épidémie de grippe atteint son apogée et dans l’intervalle où le cortège des nombreux autres virus est en marche et charrie avec lui son lot d’états grippaux, évoluant plus ou moins rapidement vers des troubles ORL variés (bronchites, otites, sinusites, etc.). Par conséquent, une vigilance accrue est de mise en ce mois de février.
L’homéopathie: un outil adapté à cette période de l’année
Des médicaments homéopathiques se révèlent être particulièrement adaptés, puisqu’ils combinent des vertus préventives contre la grippe et des vertus curatives face aux états grippaux, dont ils diminuent sensiblement la durée et l’intensité des symptômes. Dans les deux cas, ils agissent sur les fonctions immunitaires que l’organisme met naturellement en place pour se protéger des infections. Pris comme traitement dès les premiers signes d’un état grippal ou comme prophylaxie contre l’apparition de la grippe, ces médicaments ont un spectre d’action étendu et sont particulièrement bien tolérés, sans contre-indications, par toute la famille.
