Une centaine de personnes décèdent chaque année faute de donneurs.
Des sondages indiquent que la majorité des gens vivant en Suisse consentiraient en principe à un don d'organes après leur décès. Pourtant, lorsque les proches doivent décider à la place de la personne défunte, ils sont nombreux à refuser.
A la lecture de cet article, les questions suivantes m’ont traversé l’esprit:
De quoi avons-nous peur? Quelles sont les raisons qui retiennent les gens à faire don de soi?
Il n'est pas toujours facile d'aborder un sujet aussi sensible. Bien sûr, en parler, c'est se confronter à sa propre mort, mais c'est aussi envisager un don de soi à une personne inconnue, acte ultime de solidarité.
Le but de ce billet n’est pas d’apporter une réponse, mais plutôt de susciter une réflexion.
Vous pouvez être pour ou contre – L’essentiel est d’exprimer votre opinion.