Composants cellulaires essentiels, les acides gras oméga-3 contribuent au bon fonctionnement du cerveau et des yeux. Sans oublier leurs autres vertus: ils améliorent la fluidité du sang, stabilisent le rythme cardiaque, servent d’antagonistes face aux graisses alimentaires classiques et combattent l’artériosclérose, un taux de cholestérol trop élevé et les inflammations.
L’homme étant incapable de synthétiser lui-même suffisamment d’acides gras oméga-3, un apport externe s’impose. Faut-il désormais imiter les Esquimaux et se nourrir essentiellement de poisson? Que faire si on n’aime guère le poisson? Une alternative consisterait à rajouter aux aliments de grandes quantités de graines de lin, colza, soja, noix ou germe de blé, qui contiennent – à leur tour – des acides gras oméga-3. Mais avons-nous le temps et l’envie de nous imposer une hygiène alimentaire aussi contraignante?
Une supplémentation en acides gras oméga-3 pendant deux mois est indispensable pour obtenir un taux optimal dans l’organisme. Au quotidien, une prise journalière d’un complément hautement dosé en acides gras oméga-3 et en vitamine E, leur substance protectrice, se révèle la formule la plus pratique. La consommation d’acides gras oméga-3 ne remplace en aucun cas une alimentation équilibrée, mais elle contribue au maintien d’une bonne santé.
