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Donnez un coup de «pousse» à vos cheveux!

La plénitude de la santé et le bien-être au quotidien sont ressentis par l’intermédiaire de différents paramètres parmi lesquels on peut citer, et souvent en première ligne, l’image de soi que l’on donne à percevoir à son entourage. Dans cette optique, la chevelure, par son aspect général, sa force, son abondance ou son éclat, tient un rôle important, au même titre que l’état de la peau ou celui de la dentition.

Cependant, le plus souvent par le biais de nos activités quotidiennes, nos cheveux sont soumis à rude épreuve: froid intense, brossage trop vigoureux, lavages trop fréquents, shampoings trop décapants, bain de mer ou piscine, colorations, crêpage, ou encore permanentes. Des perturbations hormonales ou métaboliques, l’épuisement, le stress ou les carences nutritionnelles, de même que la prise de certains médicaments (anticoagulants, cytostatiques, etc.) sont également source de problèmes capillaires.

Progressivement, et si l’on n’est pas naturellement doté d’une chevelure forte et résistante, diverses affections capillaires peuvent  survenir et diminuer la croissance ou accélérer la chute du cheveu. On parle dans ce cas d’alopécie acquise.

Cette pathologie étant toujours réversible, il est recommandé, d’une part, de prendre soin quotidiennement de sa chevelure à l’aide d’une alimentation saine et équilibrée, d’un peignage doux, de soins capillaires adaptés à chaque type de cheveu et, d’autre part, de lui apporter des éléments constitutionnels indispensables, comme les vitamines B (en premier lieu, la B5 ou acide pantothénique et la B8 ou biotine), la kératine (la principale protéine capillaire) et les acides aminés soufrés (la cystéine notamment) ou encore des oligo-éléments comme le fer et le zinc, par le biais d’une préparation reconstituante destinée à l’usage oral. Des traitements  locaux sont également envisageables.

Un cas particulier est représenté par l’alopécie androgénétique, d’origine hormonale et génétique, provoquée par une sensibilité accrue des follicules pilaires aux androgènes (hormones mâles), qui influencent négativement le cycle de croissance capillaire. Beaucoup plus fréquente chez l’homme, ce type d’alopécie n’épargne toutefois pas la femme. En cas d’alopécie androgénétique, les mesures citées plus haut s’avèrent insuffisantes et des traitements spécifiques, par voie interne ou externe, s’imposent.

Votre pharmacien saura vous aider à trouver la solution la plus adéquate pour résoudre votre problème. Il vous conseillera volontiers!

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