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Un parcours précurseur pour la reconnaissance de l?homéopathie

Bien que souvent décriée par le monde scientifique, l’homéopathie continue à alimenter les passions. Certaines en particulier ont inspiré la famille Boiron dès 1932 et leurs travaux de recherche ont rendu ses lettres de noblesse au père de l’homéopathie, le Dr Samuel Hahnemann.

La publication de «l’Organon de l’Art rationnel de guérir » du Dr Samuel Hahnemann en 1810, ouvrage de référence pour l’homéopathie, donne le ton. L’idée directrice du principe de similitude «similia similibus curentur», déjà formulée par Hippocrate, est à l’origine de l’intuition géniale chez Hahnemann expérimentant les symptômes suscités par l’intoxication au quinquina et la guérison de ces derniers par cette même plante à dose infinitésimale. L’homéopathie était née. L’héritage d’Hahnemann a été véhiculé par nombre d’émules comme des médecins, Des Guidi et Léon Vannier, pour n’en citer que quelques-uns, et des pharmaciens, en particulier, René Baudry, Henri et Jean Boiron, qui créent ensemble le  Laboratoire homéopathique moderne, puis en 1941, les Laboratoires homéopathiques Jean Boiron. Dès 1965, l’officialisation de l’homéopathie dans la pharmacopée française la propulse dans l’industrialisation. En 1980, les laboratoires Boiron atteignent leur apogée en tant que leader mondial de l’homéopathie. De la cueillette des matières premières à la mise en macération des plantes et de leur dilution et dynamisation: autant de processus audités à l’image de celui mis en place pour garantir la fiabilité des imprégnations que Boiron développe selon le principe de la triple imprégnation. Le projet Boiron n’est autre que de poursuivre l’œuvre des fondateurs: une homéopathie scientifique, intégrée à la médecine et à la pharmacie moderne.n

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