Constamment au travail, confrontées à de multiples agressions, nos mains méritent les meilleurs soins et une protection sans faille, ainsi que des mesures rapides en cas de lésions cutanées.
Froid hivernal, vent, chauffage artificiel, eau, détergents: autant de nuisances qui mettent au supplice la peau fragile de nos mains. Quelques mesures incontournables pour les protéger: les laver avec un produit nettoyant sans savon, les sécher minutieusement, les masser avec une crème nourrissante après chaque contact avec l’eau. Il s’avère également bénéfique d’utiliser des gants (ou des gants «invisibles», qui forment sur la peau un film isolant) pour faire la vaisselle ou récurer.
Il arrive toutefois que, dans le stress de la vie quotidienne, on fasse l’impasse sur l’une ou l’autre mesure préventive ou qu’on ne les applique pas aussi souvent que nécessaire. Desséchée et fragilisée, la peau se fendille et finit par craquer: ainsi, les crevasses se forment. Inesthétiques et douloureuses, ces lésions cutanées rendent pénible tout geste de la vie quotidienne. Une solution efficace et rapide s’impose: par exemple, sous forme d’un film protecteur résistant à l’eau. En isolant la plaie, ce «pansement» réduit instantanément la sensation douloureuse et, en refermant la crevasse, il en favorise la cicatrisation. Une réponse immédiate à un problème certes bénin, mais fort pénible.
Nul n’est en mesure de dire quelle quantité d’alcool une femme enceinte peut consommer en toute tranquillité. Pendant la grossesse, surtout durant les trois premiers mois, l’alcool peut provoquer chez le foetus une atteinte cérébrale, des malformations des membres, du visage (bec-de-lièvre) et du coeur. Parfois, les conséquences n’apparaissent que chez l’enfant déjà grand, sous forme d’instabilité psychomotrice et/ou de difficultés scolaires. Il va de soi que les femmes enceintes ne devraient s’accorder les boissons alcoolisées qu’à doses «homéopathiques» ou, mieux, y renoncer.
En ce qui concerne la période de l’allaitement, il faut savoir que l’alcool passe dans le lait maternel. Dans une mesure moindre que dans le sang, mais en quantité suffisante pour intoxiquer le bébé, même en cas de très faible consommation. Les femmes allaitantes devraient, par conséquent, s’abstenir de boire ou, le cas échéant, éviter de le faire au moins une heure avant de donner le sein.
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