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Astuces minceur

• Assainir la flore intestinale

Selon des recherches récentes, il existe une relation entre le poids et la flore intestinale. La composition de celle-ci influence, d’une part, l’extraction calorique des aliments, et, de l’autre, la combustion énergétique. Une alimentation de type méditerranéen, enrichie en yogourts au bifidus et levure, influence favorablement la flore intestinale. Des mélanges de lactobacilles permettent d’obtenir un résultat plus rapide.

• Dormir suffisamment

Moins on dort, plus on sécrète de ghréline, l’hormone qui augmente l’appétit, et moins on produit de leptine, l’hormone qui diminue l’envie de manger.

• Combattre la fatigue, quelle que soit sa cause

Lorsqu’on est fatigué, on se retourne tout naturellement vers la nourriture, source d’énergie.

• Epicer les aliments (si l’estomac le supporte)

On mange plus lentement les mets épicés, ce qui permet d’atteindre plus rapidement la sensation de satiété.

• Consommer des légumes en vinaigrette

Non seulement leur teneur calorique est faible, mais de plus le vinaigre dans lequel ils baignent contient de l’acide acétique, qui peut diminuer la formation de graisses.

• Consommer du thé vert, en tisanes ou en capsules

Il renferme des substances, les catéchines, qui favorisent la perte de graisse, notamment au niveau abdominal.

• Ne jamais sauter un repas

Le corps ressentirait ceci comme une privation et stockerait davantage de calories au repas suivant.

• Bouger durant la digestion

La combustion d’un repas entraîne une augmentation de la production d’énergie, qui est ultérieurement accrue par une activité physique même modérée.

• Veiller à avoir une alimentation riche en protéines (au moins 1g par kilo corporel et par jour)

L’organisme brûle beaucoup de calories pour digérer un repas riche en protéines, moins pour digérer des glucides et très peu pour digérer des graisses.

• Boire une à deux tasses de café avant une séance de sport d’endurance

Dans ce cas, la caféine amène le corps à utiliser comme source d’énergie les lipides corporels, plutôt que le glycogène stocké dans le foi.

Rita Ducret-Costa
Pharmacienne diplômée de l’Université de Bologne, nutritionniste et homéopathe.

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